« De fortes présomptions. »Seu! Berval a vu la nouvelle collection. Ma перевод - « De fortes présomptions. »Seu! Berval a vu la nouvelle collection. Ma русский как сказать

« De fortes présomptions. »Seu! Ber

« De fortes présomptions. »

Seu! Berval a vu la nouvelle collection. Maxime Berval a pris des contacts avec des entreprises à l'étranger, et puisque Maxime Berval est en conflit avec son beau-père...
Avec ces arguments, l'inspecteur Gaudin réussit à obtenir une signature du juge d'instruction, pour une garde à vue du gendre de Roland Delaunaye.
- 24 heures, pas plus ! Et soyez discret, le plus discret possible ! ordonne le juge d'instruction.
Au commissariat, face à l'inspecteur Gaudin, Maxime Berval est beaucoup moins à l'aise que dans son magnifique bureau, au siège de la Maison Delaunaye ; mais il ne perd pas sa belle assurance.
- Monsieur Berval, avez-vous revu Virginie Berthaux, depuis la fin de son stage ?
- Non ! Je n'ai aucune raison de mentir !
- Et pourtant je pense, moi, que vous l'avez revue, qu'elle vous a montré les contrefaçons.
- Mais vous plaisantez j'aurais immédiatement averti la police !
- Vous ne vouliez peut-être pas faire cesser ce trafic.
- Que voulez-vous dire ? Comment osez-vous ?
- Je veux dire tout simplement que vous saviez peut-être déjà que dans un certain pays de l'Est, il y a un atelier, où l'on fabrique des faux Delaunaye ! Vous avez pris des contacts pour faire fabriquer des objets à un prix de production plus bas.
- Ce n'est pas une preuve !
- Non. Mais le sac trouvé chez Mlle Berthaux fait partie d'une nouvelle collection et vous êtes le seul à avoir vu les nouveaux modèles.
- Oui, c'est vrai ! j'ai même une copie des dessins dans mon coffre-fort, dans mon bureau ! Mais l'entreprise Delaunaye m'appartient aussi ! C'est ridicule !
- Ecoutez, M. Berval, essayons d'imaginer... Vous faites produire des faux Delaunaye, plus vrais que les vrais, vous commencez à les écouler , pas sur tous les marchés, non, ce sont des imitations trop parfaites ! Vous les mettez sur le marché haut de gamme. Et puis tout d'un coup, vous vous arrangez pour faire découvrir la fraude. Imaginez le scandale ! Des faux Delaunaye, vendus au prix des vrais, dans les boutiques de luxe. C'est l'image de la Maison qui s'écroule. C'est la fin pour le responsable de la Maison Delaunaye, pour votre beau-père.
- Mais c'est la fin aussi pour moi ! J'ai des parts très importantes dans l'entreprise.
- Des parts, oui, mais pas la majorité. La majorité, pour l'instant, est toujours dans les mains de votre beau-père !
- C'est absurde ! Je refuse de répondre.
- Alors, je continue. Virginie a confiance en vous, elle vous parle des faux mais elle est très intelligente, elle peut découvrir la vérité, découvrir que vous êtes derrière cette fraude.
- Et je la tue ? Mais j'ai un alibi ! Vous avez vérifié !
- Oui, nous avons vérifié votre alibi. Un très bel alibi. Un dîner dans un grand restaurant où tout Dijon vous a vu. Mais vous êtes assez riche pour payer...
- Quoi ! Comment osez-vous ! Maxime Berval se lève, visiblement outré, Je ne dirai pas un mot de plus ! Et mon beau-père, alors ? Je l'ai tué lui aussi ? Ou bien fait tuer ?
- Je ne sais pas, mais votre beau-père est la seule personne capable de vous disculper ! - Pourquoi ?
- Parce qu'il a parlé avec Virginie, peu de temps avant sa mort.
- Et si c'était lui ? demande tout à coup Maxime. Appliquons votre raisonnement à mon beau-père : la maison connaît des difficultés, parce que les coûts de production sont trop élevés. Alors, il fait produire les accessoires griffés Delaunaye, à un coût plus bas et il les écoule dans le circuit de luxe.
- Continuez ! L'inspecteur suit le raisonnement avec intérêt.
- Mais il ne révèle pas le pot aux roses ! Voilà de quoi renflouer les caisses de l'entreprise, non ?
- Oui, ça se tient. Cette fois-ci, Gaudin est perplexe ! Après tout, Roland Delaunaye aime son entreprise, il est prêt à tout, pour la sauver.
- Ça se tient, effectivement, dit Berval, mais ce n'est pas possible.
- Pourquoi donc ?
- Parce que jamais mon beau-père ne pourrait organiser une telle fraude !
- C'est vous-même qui le disculpez !
- Je vous l'ai déjà dit et répété, inspecteur. Je ne partage pas les choix de mon beau-père, mais je l'admire profondément. J'ai une parfaite confiance en lui. Il serait incapable de...
Mais un policier les interrompt.
- Inspecteur, je dois vous parler, c'est urgent.
- Oui, je viens. J'en ai pour une minute, Monsieur Berval, s'excuse Gaudin en passant dans le bureau voisin. Alors ? Je ne voulais pas être dérangé ! Que se passe-t-il ?
- Le chef du personnel des Delaunaye vient d'appeler, explique le policier. Un autre employé a disparu, un styliste. Il ne s'est pas présenté à l'entreprise ce matin. Il est introuvable...
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« De fortes présomptions. »Seu! Berval a vu la nouvelle collection. Maxime Berval a pris des contacts avec des entreprises à l'étranger, et puisque Maxime Berval est en conflit avec son beau-père...Avec ces arguments, l'inspecteur Gaudin réussit à obtenir une signature du juge d'instruction, pour une garde à vue du gendre de Roland Delaunaye.- 24 heures, pas plus ! Et soyez discret, le plus discret possible ! ordonne le juge d'instruction.Au commissariat, face à l'inspecteur Gaudin, Maxime Berval est beaucoup moins à l'aise que dans son magnifique bureau, au siège de la Maison Delaunaye ; mais il ne perd pas sa belle assurance.- Monsieur Berval, avez-vous revu Virginie Berthaux, depuis la fin de son stage ?- Non ! Je n'ai aucune raison de mentir !- Et pourtant je pense, moi, que vous l'avez revue, qu'elle vous a montré les contrefaçons.- Mais vous plaisantez j'aurais immédiatement averti la police !- Vous ne vouliez peut-être pas faire cesser ce trafic.- Que voulez-vous dire ? Comment osez-vous ?- Je veux dire tout simplement que vous saviez peut-être déjà que dans un certain pays de l'Est, il y a un atelier, où l'on fabrique des faux Delaunaye ! Vous avez pris des contacts pour faire fabriquer des objets à un prix de production plus bas.- Ce n'est pas une preuve !- Non. Mais le sac trouvé chez Mlle Berthaux fait partie d'une nouvelle collection et vous êtes le seul à avoir vu les nouveaux modèles.- Oui, c'est vrai ! j'ai même une copie des dessins dans mon coffre-fort, dans mon bureau ! Mais l'entreprise Delaunaye m'appartient aussi ! C'est ridicule !- Ecoutez, M. Berval, essayons d'imaginer... Vous faites produire des faux Delaunaye, plus vrais que les vrais, vous commencez à les écouler , pas sur tous les marchés, non, ce sont des imitations trop parfaites ! Vous les mettez sur le marché haut de gamme. Et puis tout d'un coup, vous vous arrangez pour faire découvrir la fraude. Imaginez le scandale ! Des faux Delaunaye, vendus au prix des vrais, dans les boutiques de luxe. C'est l'image de la Maison qui s'écroule. C'est la fin pour le responsable de la Maison Delaunaye, pour votre beau-père.- Mais c'est la fin aussi pour moi ! J'ai des parts très importantes dans l'entreprise.- Des parts, oui, mais pas la majorité. La majorité, pour l'instant, est toujours dans les mains de votre beau-père !- C'est absurde ! Je refuse de répondre.- Alors, je continue. Virginie a confiance en vous, elle vous parle des faux mais elle est très intelligente, elle peut découvrir la vérité, découvrir que vous êtes derrière cette fraude.- Et je la tue ? Mais j'ai un alibi ! Vous avez vérifié !- Oui, nous avons vérifié votre alibi. Un très bel alibi. Un dîner dans un grand restaurant où tout Dijon vous a vu. Mais vous êtes assez riche pour payer...- Quoi ! Comment osez-vous ! Maxime Berval se lève, visiblement outré, Je ne dirai pas un mot de plus ! Et mon beau-père, alors ? Je l'ai tué lui aussi ? Ou bien fait tuer ?- Je ne sais pas, mais votre beau-père est la seule personne capable de vous disculper ! - Pourquoi ?- Parce qu'il a parlé avec Virginie, peu de temps avant sa mort.- Et si c'était lui ? demande tout à coup Maxime. Appliquons votre raisonnement à mon beau-père : la maison connaît des difficultés, parce que les coûts de production sont trop élevés. Alors, il fait produire les accessoires griffés Delaunaye, à un coût plus bas et il les écoule dans le circuit de luxe.- Continuez ! L'inspecteur suit le raisonnement avec intérêt.- Mais il ne révèle pas le pot aux roses ! Voilà de quoi renflouer les caisses de l'entreprise, non ?- Oui, ça se tient. Cette fois-ci, Gaudin est perplexe ! Après tout, Roland Delaunaye aime son entreprise, il est prêt à tout, pour la sauver.- Ça se tient, effectivement, dit Berval, mais ce n'est pas possible.- Pourquoi donc ?- Parce que jamais mon beau-père ne pourrait organiser une telle fraude !- C'est vous-même qui le disculpez !- Je vous l'ai déjà dit et répété, inspecteur. Je ne partage pas les choix de mon beau-père, mais je l'admire profondément. J'ai une parfaite confiance en lui. Il serait incapable de...Mais un policier les interrompt.- Inspecteur, je dois vous parler, c'est urgent.- Oui, je viens. J'en ai pour une minute, Monsieur Berval, s'excuse Gaudin en passant dans le bureau voisin. Alors ? Je ne voulais pas être dérangé ! Que se passe-t-il ?- Le chef du personnel des Delaunaye vient d'appeler, explique le policier. Un autre employé a disparu, un styliste. Il ne s'est pas présenté à l'entreprise ce matin. Il est introuvable...
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"веские доказательства."ГСО!Berval увидеть новые коллекции.девиз berval обращаться в иностранные компании, потому что berval девиз в конфликт и отчим...Эти мнения, детектив годен успешно получить подписи, судьи на содержание под стражей delaunaye зять Роланд.24 часа, не больше.и осторожно, осторожно, возможно!Следственный судья команды.в полиции, перед детектив Гордана, Максим berval более комфортно в офис, она красивая, сидеть дома delaunaye; но он не потерял свою красоту страхования.Г - н berval, ты видел berthaux из Вирджинии, стажировки в конце?- Нет!Я не вру причина!Но я верю, что ты журнал, это показывает, что ты поддельные.Но вы, наверное, шутите, я немедленно уведомить полицию!Ты не может и не хочет остановить транспорт.Что ты имеешь в виду?Как ты смеешь?Я просто хочу сказать, ты знаешь, может быть, уже в определенной страны, один раз мы изготовления поддельных delaunaye!Ты уже контакт для производства товаров, низкие цены продукции.Это не доказательства.Нет.Но мисс обнаружили в berthaux частью пакета новых коллекций, вы видите только новые модели.Да, это правда!Я даже копию чертежи в мой сейф, в мой кабинет!Но delaunaye предприятия принадлежит мне!Это нелепо.Слушай, г - н berval, пытаясь представить...Ты, правда, delaunaye производить более реальной, действительно, вы начинаете поток, не все рынки, это имитация слишком совершенна!Ты положил их на рынке элитной недвижимости.Внезапно ты работу, чтобы найти мошенничества.воображение скандал.ложная delaunaye продал магазин, цены действительно роскоши.это дом образ и крах.это в конечном итоге ответственность delaunaye дома, твой отчим.Но это я, наконец, также!Я в акции компании, является очень важным.Я акций, да, но не большинство.Большинство людей, по - прежнему в руках, твой отчим.Это нелепо.Я отказываюсь отвечать.Так что, я по - прежнему.Вирджиния доверять тебе, она говорит, что ты ошибаешься, но она очень умная, она может найти правду, что ты за мошенничество.Я убил ее?Но я оправдание!Ты проверил.Да, мы проверили ваши оправдания.хороший повод.в большой ресторан все Дижон увидел тебя.Но ты деньги платить...Почему!Как ты смеешь так говорить!девиз berval поднимается, очевидно, гнев, я бы не сказал ни слова!и мой отчим, как?Я убил его?или убить его?Я не знаю, но ты единственный отчим - это чтобы ты!Почему?Потому что он сказал, Виргиния, незадолго до смерти он.если это он?внезапно, Максим спроса.Твои рассуждения мой тесть: дом - это трудно, потому что слишком высокой стоимости производства. так, он griff Кортес delaunaye производства аксессуаров, минимальная стоимость потока цепь, он в роскоши.Держись!Детектив рассуждения следующие интерес.Но он не раскрывают розы бассейна!это дело спасения предприятия, не так ли?Да, это имеет смысл.в этот раз, годен недоумение!В конце концов, Роланд delaunaye нравится его компании, он готов на все, чтобы спасти ее.это, в самом деле, berval сказал, но это невозможно.Почему?Потому что мой отчим будет организации такой обман!Это твоя disculpez!Я уже сказал тебе, повторяю, детектив.Я не согласен с тем, что выбор мой отчим, но я глубоко восхищаюсь.Я ему полностью доверяю.Он будет не в состоянии...Но, полицейский прерывать.Хорошо, я хочу поговорить с тобой, это срочно.Да, я здесь.Я на минуту, г - н Гордан berval извинения, кстати, в соседнем кабинете.А потом?Я не хочу беспокоить.Что случилось?основной персонал delaunaye позвонил, объяснил полиции.Другой работник пропал, дизайнер.Он не появился в компании утром.Он не может найти...
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