TOUS LES MATINSTous les matins, à sept heures précises, Je me lève. Je перевод - TOUS LES MATINSTous les matins, à sept heures précises, Je me lève. Je русский как сказать

TOUS LES MATINSTous les matins, à s

TOUS LES MATINS

Tous les matins, à sept heures précises, Je me lève. Je ouvre un œil, puis l’autre, m’étire, bâille, embrasse ma femme sur la joue, me lève en titubant un peu, retenant d’une main mes pantalons de pyjama, et frappe au mur la chambre de mon fils.
– Il est sept heures! criait-il.
Comme si je ne l’avais pas deviné!..
Il attendait quelques instants, pendant les quels j’émergeais douloureusement du som-meil. Puis il criait de nouveau, à travers la porte:
– Tu as entendu, Robert?
– J’avais entendu, hélas!
– Voilà! répondais-je. .
Et, atteignant sur la descente de lit une de
mes babouches, je la ra clais contre le parquet pour faire croire que je venais de me lever.
– Enfin! disait Papa, rassuré.
Il revenait vers sa table de nuit, y prenait une rustine de “corned plaster”, qu’il appli-quait soigneusement sur son petit orteil. Il attei¬gnait alors sous son lit ses deux petits haltères et commençait ses mouvements respiratoires:
– Une ... deux!... Une deux!... Une …
Il s’interrompait pour crier, à mon intention:
– Alors... Je ne t’entends pas!
Le quart d’heure de culture physique familiale était l’un de ses bons moments de la journée.
Je me hâtais, toujours couché, d’inspirer et d’expirer avec un bruit de soufflet de forge, susceptible d’être entendu à travers la porte:
– Mm... Pff! .. Mm ... Pff!...
– Pas si vite, pas si vite! protestait alors Papa, pour la forme, mais on devinait à sa voix qu’il était ravi.
Nous utilisions ensuite le lavabo, en file infinie. Papa faisait sa toilette le premier. Il se rasait avec un “sabre”. Et tandis qu’il procédait à cette dangereuse opération, il répétait à mi-voix une phrase, toujours la même:
– Ce sont ces vieilles chaussettes qui sèchent, disait une duchesse de vieille souche ...
Paroles sibyllines, qui s’expliquaient dès qu’on savait que Papa avait eu dans sa jeunesse un défaut de prononciation, dont il s’était débarrassé à force d’exercices opiniâtres, renouvelés de Démosthène1.
Sans doute à cause de cela, le célèbre orateur grec était son maître et son dieu ... “Quand vous rencontrez une difficulté, avait-il l’habitude d’énoncer, dites-vous simplement: que ferait Démosthène s’il était à ma place?...”
Entre-temps, Maman s’était levée, et nous prenions tous les trois notre petit dé jeuner – pain, beurre et café noir – dans la salle à manger.
– “... Région parisienne. – Temps beau mais lourd avec des nuages passagers. Température maximale supérieure à 25°...” nasillait la radio ...
Et Maman, poète, ajoutait:
– Les nuages sont merveilleux, ce matin.
Papa, pratique, concluait alors:
– Tu as raison, je vais prendre mon parapluie.
Venait ensuite la cérémonie de l’heure exacte.
– “Au quatrième top”, annonçait la radio ...
Mon père, qui avait un œil fixé sur sa montre et l’autre sur le cadran de la pendule, les mettait à l’heure toutes les deux. Alors seulement, il consentait à s’asseoir, et trempait machinalement ses tartines tout en parcourant le journal.

Les nouvelles politiques avaient le don, chaque matin, de le remplir d’une allègre amertume:
– Il y a des canailles que je me ferais une joie de mettre en prison, l’entendions-nous murmurer.
– Tu as bien raison, répondais-je.
– Tiens! disait Papa, étonné. Pour une fois nous sommes d’accord.
Ce n’était pas vrai, bien entendu. Nous ne parlions pas de mêmes canailles, voilà tout. Papa était un ancien anarchiste devenu conservateur en attrapant la cinquantaine. Et j’étais sans doute un futur conservateur qui me croyais anarchiste parce que j’avais vingt-trois ans et pas encore mal au foie. Quant à Ma¬man, ses opinions étaient très personnelles. D’une indiffé¬rence olym¬pienne en ce qui concernait la lutte des classes et l’avenir de la démocratie, elle votait pour les candidats qui lui avaient fait la meilleure impression. La couleur de leurs yeux avait beau¬coup plus d’importance pour elle que leur programme.
Maman détestait que nous parlions politique au petit déjeuner.
– Servez-vous, tenez, cela vaudra mieux! grondait-elle.
Mais c’était elle qui nous servait. Elle trônait, telle une cais¬sière de café, distribuait les tartines, veillait au sucre, au beurre, et à ma façon de manger.
– Robert, tiens-toi droit, me disait-elle.
Ou bien:
– Ton pauvre frère, lui, ne se jetait pas sur le sucre comme la pauvreté sur le monde.
Mon pauvre frère!... Ah! elle ne me permettait pas de l’ou¬ l’ou¬blier, mon frère Paul, décédé à l’âge de quatre ans.
Mais Papa avait fini de manger. Il pliait sa serviette de table, mettait sous son bras gauche sa serviette en cuir, posait sur sa tête son chapeau noir à bord roulé ... Lui et moi embrassions Maman, chacun sur une joue, et nous partions, lui pour Sainte-Beuve à Auteuil2, moi pour le cabinet Turpin, boulevard Hauss¬mann, près de Saint-Lazare3.
Maman se mettait alors à sa table de travail, et se plongeait dans ses traductions. De temps à autre, elle relisait une phrase à haute voix.

D’après Jean-Paul Le Chanois et Marcel Aymé,
Papa, Maman, la Bonne et Moi

1 Démosthène (384-322 av. J.-C.) est un homme d'État athé¬nien, l'un des plus grands orateurs attiques. Ses problèmes d'élo¬cution lui valurent le surnom de “bègue”, défaut qui, dit la légende, le con¬trai¬gnit à s'entraîner à parler avec des cailloux dans la bouche.
2 Auteuil – le quartier de Paris
3 Saint-Lazare – la gare à Paris
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TOUS LES MATINSTous les matins, à sept heures précises, Je me lève. Je ouvre un œil, puis l’autre, m’étire, bâille, embrasse ma femme sur la joue, me lève en titubant un peu, retenant d’une main mes pantalons de pyjama, et frappe au mur la chambre de mon fils. – Il est sept heures! criait-il.Comme si je ne l’avais pas deviné!..Il attendait quelques instants, pendant les quels j’émergeais douloureusement du som-meil. Puis il criait de nouveau, à travers la porte:– Tu as entendu, Robert?– J’avais entendu, hélas!– Voilà! répondais-je. .Et, atteignant sur la descente de lit une de mes babouches, je la ra clais contre le parquet pour faire croire que je venais de me lever.– Enfin! disait Papa, rassuré.Il revenait vers sa table de nuit, y prenait une rustine de “corned plaster”, qu’il appli-quait soigneusement sur son petit orteil. Il attei¬gnait alors sous son lit ses deux petits haltères et commençait ses mouvements respiratoires:– Une ... deux!... Une deux!... Une …Il s’interrompait pour crier, à mon intention:– Alors... Je ne t’entends pas!Le quart d’heure de culture physique familiale était l’un de ses bons moments de la journée.Je me hâtais, toujours couché, d’inspirer et d’expirer avec un bruit de soufflet de forge, susceptible d’être entendu à travers la porte: – Mm... Pff! .. Mm ... Pff!...– Pas si vite, pas si vite! protestait alors Papa, pour la forme, mais on devinait à sa voix qu’il était ravi.Nous utilisions ensuite le lavabo, en file infinie. Papa faisait sa toilette le premier. Il se rasait avec un “sabre”. Et tandis qu’il procédait à cette dangereuse opération, il répétait à mi-voix une phrase, toujours la même:– Ce sont ces vieilles chaussettes qui sèchent, disait une duchesse de vieille souche ...Paroles sibyllines, qui s’expliquaient dès qu’on savait que Papa avait eu dans sa jeunesse un défaut de prononciation, dont il s’était débarrassé à force d’exercices opiniâtres, renouvelés de Démosthène1.Sans doute à cause de cela, le célèbre orateur grec était son maître et son dieu ... “Quand vous rencontrez une difficulté, avait-il l’habitude d’énoncer, dites-vous simplement: que ferait Démosthène s’il était à ma place?...”Entre-temps, Maman s’était levée, et nous prenions tous les trois notre petit dé jeuner – pain, beurre et café noir – dans la salle à manger.– “... Région parisienne. – Temps beau mais lourd avec des nuages passagers. Température maximale supérieure à 25°...” nasillait la radio ...Et Maman, poète, ajoutait:– Les nuages sont merveilleux, ce matin.Papa, pratique, concluait alors:– Tu as raison, je vais prendre mon parapluie.Venait ensuite la cérémonie de l’heure exacte.– “Au quatrième top”, annonçait la radio ...Mon père, qui avait un œil fixé sur sa montre et l’autre sur le cadran de la pendule, les mettait à l’heure toutes les deux. Alors seulement, il consentait à s’asseoir, et trempait machinalement ses tartines tout en parcourant le journal. Les nouvelles politiques avaient le don, chaque matin, de le remplir d’une allègre amertume:– Il y a des canailles que je me ferais une joie de mettre en prison, l’entendions-nous murmurer.– Tu as bien raison, répondais-je.– Tiens! disait Papa, étonné. Pour une fois nous sommes d’accord.Ce n’était pas vrai, bien entendu. Nous ne parlions pas de mêmes canailles, voilà tout. Papa était un ancien anarchiste devenu conservateur en attrapant la cinquantaine. Et j’étais sans doute un futur conservateur qui me croyais anarchiste parce que j’avais vingt-trois ans et pas encore mal au foie. Quant à Ma¬man, ses opinions étaient très personnelles. D’une indiffé¬rence olym¬pienne en ce qui concernait la lutte des classes et l’avenir de la démocratie, elle votait pour les candidats qui lui avaient fait la meilleure impression. La couleur de leurs yeux avait beau¬coup plus d’importance pour elle que leur programme.Maman détestait que nous parlions politique au petit déjeuner.– Servez-vous, tenez, cela vaudra mieux! grondait-elle.Mais c’était elle qui nous servait. Elle trônait, telle une cais¬sière de café, distribuait les tartines, veillait au sucre, au beurre, et à ma façon de manger.– Robert, tiens-toi droit, me disait-elle.Ou bien:– Ton pauvre frère, lui, ne se jetait pas sur le sucre comme la pauvreté sur le monde.Mon pauvre frère!... Ah! elle ne me permettait pas de l’ou¬ l’ou¬blier, mon frère Paul, décédé à l’âge de quatre ans. Mais Papa avait fini de manger. Il pliait sa serviette de table, mettait sous son bras gauche sa serviette en cuir, posait sur sa tête son chapeau noir à bord roulé ... Lui et moi embrassions Maman, chacun sur une joue, et nous partions, lui pour Sainte-Beuve à Auteuil2, moi pour le cabinet Turpin, boulevard Hauss¬mann, près de Saint-Lazare3.Maman se mettait alors à sa table de travail, et se plongeait dans ses traductions. De temps à autre, elle relisait une phrase à haute voix.D’après Jean-Paul Le Chanois et Marcel Aymé, Papa, Maman, la Bonne et Moi1 Démosthène (384-322 av. J.-C.) est un homme d'État athé¬nien, l'un des plus grands orateurs attiques. Ses problèmes d'élo¬cution lui valurent le surnom de “bègue”, défaut qui, dit la légende, le con¬trai¬gnit à s'entraîner à parler avec des cailloux dans la bouche.2 Auteuil – le quartier de Paris3 Saint-Lazare – la gare à Paris
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Каждое утро Каждое утро в семь часов, я встаю. Я открываю один глаз, затем другой, растяжения меня, зевать, поцеловать жену в щеку, встать немного пошатываясь, держа одной рукой мои пижамные штаны и врезался в стену комнаты моего сына. - Это семь часов! крикнул он. Как будто я не догадался! .. Он подождал несколько моментов, во время которых я мучительно émergeais сом-Мей. Затем он снова закричал через дверь: - Вы слышали, Роберт? - Я слышал, увы! - Там! Я ответил. . И на спуске кровати тапочках, я ра clais на пол, чтобы сделать вид, что я должен был встать. - Наконец-то! Папа сказал, успокоил. Он возвращался к своей тумбочке, он взял патч "солонины штукатурки", он тщательно приложение-лаборантом на его мизинец. Это attei¬gnait под кроватью в то время как ее двух маленьких гантелей и начал дыхательных движений - один ... два ... два ... A ... A! Он замолчал, чтобы кричать, для меня: - Итак .. Я тебя не слышу! Пятнадцать минут семьи фитнес был одним из его хороших моментов дня. Я поспешил, до сих пор лежит, вдохновлять, и выдох с сильфонным шума подделать, который можно услышать через дверь - Мм ... Уф! Мм ... .. Тьфу! ... - Не так быстро, не так быстро! Папа тогда протестовали для формы, но угадывал в его голосе, что он был в восторге. Затем мы использовали раковину в бесконечном очереди. Папа одевался в первую очередь. Он побрился с "мечом". И в то время как он проводит эту опасную операцию, он повторил тихо фраза, всегда то же самое: - Это те старые носки сушильные, сказал Герцогиня старых запасов ... загадочные тексты, которые должны были вскоре мы знали, что папа был в молодости косноязычен, что он избавился от упрямых силовых упражнений Démosthène1 обновляется. Возможно, из-за этого, знаменитый греческий оратор был его хозяин и бог ... "Когда вы сталкиваетесь с проблемой, он имел привычку заявив, скажу вам просто: Демосфен, если бы он был на моем месте ..." Между тем, мама поднялась, и мы берем все три кубика наш маленький обед - хлеб, масло и черный кофе - в столовой. - "... Париж региона. - Время красивая, но тяжелые тучи с пассажирами. Максимальная температура выше 25 ° ... "nasillait радио ... И мама, поэт, добавлено: -. Облаках замечательно утром папа, практика, то вывод: - Вы правы, я возьму зонтик. Затем пришло время церемонии. - "В четвертом сверху», объявила о радио ... Мой отец, который был один глаз на его часы и другой на циферблате часов, ставит их в каждые два часа. Только тогда, он согласился, чтобы сидеть и механически опустила хлеб, просматривая газету. Новая политика имел дар каждое утро, заполнить его с радостным горечи: - Есть негодяи, что я бы радость в тюрьму, мы слышали, как он роптать. - Вы правы, "ответил я. - Смотри! Папа сказал поражен. На этот раз мы согласны. Это не было, конечно, верно. Мы не говорим о тех же мерзавцев, вот и все. Папа был бывший анархист Консервативная стать ловли пятидесятые. И я, наверное, консерватор будущее, анархист думал, что я, потому что я было двадцать три, и не нанести вред печени. Что касается Ma¬man, мнения были очень личная. В olym¬pienne indiffé¬rence в отношении классовой борьбы и о будущем демократии, она голосовала за кандидатов, которые дали ему лучшее впечатление. Цвет их глаз beau¬coup был для нее важнее, чем их программу. Мама ненавидела, что мы говорили о политике на завтрак. - Угощайтесь, здесь, это будет лучше! ругал она. Но она служила нам. . Она сидела, как кофе cais¬sière, распределенные бутерброды, смотрел сахар, сливочное масло, и мой способ питания - Роберт, стоять прямо, сказала она мне. Или: - Ваша бедный брат, он не бросит на сахар, как бедность в мире. Мой бедный брат! ... Ах! это не позволит мне ou¬ в ou¬blier, мой брат Пола, который умер в возрасте четырех лет. Но папа поели. Он сложил салфетку, положить под левую руку его портфель из кожи, ее голова покоилась на его черной шляпе с проката края ... Он и я поцеловал Мама, все в щеку, и мы оставили его в Сент-Бев Auteuil2 себе для Терпин фирмы Hauss¬mann бульваре, недалеко от Санкт-Lazare3. Мама помещают на своем рабочем столе, и погрузился в его переводах. Время от времени, она читала приговор вслух. По Жан-Поль Ле Chanois и Марсель Эме, папа, мама, и мне хорошую 1 Демосфен (384-322 до н.э.). Это человек, athé¬nien государства, один из крупнейших аттических ораторов. Его проблемы élo¬cution принесла ему прозвище "заика" по умолчанию, который, согласно легенде, con¬trai¬gnit практиковать говоря с галькой в рот. 2 Отей - Париж окрестности 3 Сен-Лазар - железнодорожный вокзал в Париже






















































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каждое утро,

каждый день в семь утра, я встаю.я открыл его, затем еще один, я зевнул, растяжки, поцелуй меня жена щеки бросилась вставать, сохранить руки мои брюки носить пижаму, попал в стену, в комнате моего сына.
- это семь!Он кричал.
, если я не догадался!...
Он ждать несколько минут,Я - то, что боль в mergeais сом - Бонни.Затем он кричит, через дверь:
– Ты слышал?
- Я слышал, увы!
- Да!Ответь мне..
и падает на кровать, достичь
я тапочки, на мой clais ра прокуроры считают, что я просто встал.
- Наконец - то!папа сказал, что он вернется, уверены.
к его кровати,Это пластырь "соленая гипс", он тщательно применение quait ее маленькие пальчики.Он под кровать attei ¬ gnait так двух ее Маленькая Гантель, начал его дыхание движения:
-...Два!...один два!...один...
Он прервал кричать, в мои намерения:
- Так...Я не слышу тебя!
25 часов культуры и спорта является его семьи хорошо время.
я h - tais, всегда спал, и стимулирования налаживания Беллоус можно услышать звук выдоха, дверь: – мм
...Эй!...Мм...Эй!...
– не слишком быстро, слишком быстро!Так что папа формы протеста, но мы читали его голос, он рад.
Тогда мы с очереди умывальник, является неограниченной.папа в первый раз он в туалет.Он обрил "Меч".когда он был в этой опасной операции, он говорит, что в предложении голос, всегда одно и то же:
– эти старые носки стволовых говорит, что герцогиня старый пень...
sibyllines слова,причины, после того, как мы знаем, папа был в молодости он произношение есть дефект, он избавился от движения сил неустанные, вновь d - mosth 'ne1.
, несомненно, потому что это знаменитый древнегреческий оратором, его хозяин и его бог..."когда ты в беде, он часто говорит, что ты только что сказал:Демосфен будет меня?"
... одновременно, мама уже разоружения, мы все три кости поста – наш маленький хлеб, масло, кофе – в столовой.
-"...в районе Парижа.– время красив, но тяжелых облако пассажиров.максимальная температура превышает 25 градусов... "Nasillait радио...

и мама, поэт сказал:
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