Un jour (je me rappelle encore la d

Un jour (je me rappelle encore la date: c'était le 18 janvier), le temps éta-it mauvais.
Je montai sur la plate-forme et je vis le capitaine Nemo qui, de sa lon-gue-vue, observait la mer. Que pouvait-il chercher là?
Je descendis au salon et pris une lunette. Mais je n'eus pas le temps de m'en servir, on me l'arracha des mains. Je me retournai. Le capitaine Nemo était devant moi, mais je ne le reconnus pas. Sa physionomie était transformée. Ses yeux brillaient. Il ne bougeait pas.
Enfin le capitaine Nemo redevint maître de lui. Son visage reprit son calme habituel.
— Monsieur Aronnax, me dit-il, il faut vous laisser enfermer, vos compagnons et vous, jusqu'au moment où je pourrai vous rendre la liberté.
— Vous êtes le maître, lui répondis-je.
Je descendis à la cabine qu'occupaient, Ned et Conseil, et je leur trans-mis l'ordre du capitaine. Quatre hommes de l'équipage nous conduisirent à la cabine où nous avions passé notre première nuit à bord du «Nautilus». — Qu'est-ce que cela signifie, monsieur? me demanda Conseil.
Je racontai à mes compagnons ce qui s'était passé. Ils furent aussi étonnés que moi.
Cependant, Ned Land s'écria:
— Tiens! le déjeuner est servi!
Nous nous mîmes à table. Après le déjeuner, Ned Land s'endormit aussitôt et Conseil suivit son exemple. Je me demandais ce qui provoquait ce besoin de sommeil quand je sentis que mes yeux se fermaient malgré moi. Evidem-ment, on avait mêlé des soporifiques à notre nourriture. Je voulus résister au sommeil. Ce fut impossible. Je m'endormis profondément.
A ma grande surprise, je me réveillai le lendemain dans ma chambre. Ce qui s'était passé pendant cette nuit, je l'ignorais. Je voulus sortir. J'ouvris la porte et je montai sur la plate-forme. Ned Land et Conseil m'y attendaient. Je les interrogeai. Ils ne savaient rien non plus. Alors je descendis au salon et je me mis à classer mes notes.
Je travaillais tranquillement, quand la porte s'ouvrit et le capitaine Nemo entra. Je le regardai. Il avait l'air fatigué. Son visage exprimait une tristesse profonde.
— Etes-vous médecin, monsieur Aronnax? me demanda-t-il.
Surpris, je le regardai un moment sans répondre.
— Oui, dis-je, je suis docteur.
— En ce cas, monsieur, me dit le capitaine, pouvez-vous donner vos soins à l'un de mes hommes?
— Vous avez un malade?
— Oui.
— Je suis prêt à vous suivre.
— Venez.
Le capitaine Nemo me conduisit dans une cabine. Là, sur un lit, je vis un homme à figure énergique. Ce n'était pas seulement un malade, c'était un blessé. La blessure était très grave. Je vis que la mort était proche.
— Votre avis sur son état? demanda le capitaine. Vous pouvez parler, monsieur. Il ne comprend pas le français.
Je regardai une dernière fois le blessé, puis je répondis:
— Cet homme sera mort dans deux heures.
— Rien ne peut le sauver?
— Rien.
La main du capitaine Nemo se crispa et des larmes brillèrent dans ses yeux.
— Vous pouvez vous retirer, monsieur Aronnax, me dit-il.

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Un jour (je me rappelle encore la date: c'était le 18 janvier), le temps éta-it mauvais.Je montai sur la plate-forme et je vis le capitaine Nemo qui, de sa lon-gue-vue, observait la mer. Que pouvait-il chercher là?Je descendis au salon et pris une lunette. Mais je n'eus pas le temps de m'en servir, on me l'arracha des mains. Je me retournai. Le capitaine Nemo était devant moi, mais je ne le reconnus pas. Sa physionomie était transformée. Ses yeux brillaient. Il ne bougeait pas.Enfin le capitaine Nemo redevint maître de lui. Son visage reprit son calme habituel.— Monsieur Aronnax, me dit-il, il faut vous laisser enfermer, vos compagnons et vous, jusqu'au moment où je pourrai vous rendre la liberté.— Vous êtes le maître, lui répondis-je.Je descendis à la cabine qu'occupaient, Ned et Conseil, et je leur trans-mis l'ordre du capitaine. Quatre hommes de l'équipage nous conduisirent à la cabine où nous avions passé notre première nuit à bord du «Nautilus». — Qu'est-ce que cela signifie, monsieur? me demanda Conseil.Je racontai à mes compagnons ce qui s'était passé. Ils furent aussi étonnés que moi.Cependant, Ned Land s'écria:— Tiens! le déjeuner est servi!Nous nous mîmes à table. Après le déjeuner, Ned Land s'endormit aussitôt et Conseil suivit son exemple. Je me demandais ce qui provoquait ce besoin de sommeil quand je sentis que mes yeux se fermaient malgré moi. Evidem-ment, on avait mêlé des soporifiques à notre nourriture. Je voulus résister au sommeil. Ce fut impossible. Je m'endormis profondément.A ma grande surprise, je me réveillai le lendemain dans ma chambre. Ce qui s'était passé pendant cette nuit, je l'ignorais. Je voulus sortir. J'ouvris la porte et je montai sur la plate-forme. Ned Land et Conseil m'y attendaient. Je les interrogeai. Ils ne savaient rien non plus. Alors je descendis au salon et je me mis à classer mes notes.Je travaillais tranquillement, quand la porte s'ouvrit et le capitaine Nemo entra. Je le regardai. Il avait l'air fatigué. Son visage exprimait une tristesse profonde.— Etes-vous médecin, monsieur Aronnax? me demanda-t-il.Surpris, je le regardai un moment sans répondre.— Oui, dis-je, je suis docteur.— En ce cas, monsieur, me dit le capitaine, pouvez-vous donner vos soins à l'un de mes hommes?— Vous avez un malade?— Oui.— Je suis prêt à vous suivre.— Venez.Le capitaine Nemo me conduisit dans une cabine. Là, sur un lit, je vis un homme à figure énergique. Ce n'était pas seulement un malade, c'était un blessé. La blessure était très grave. Je vis que la mort était proche.-Ваше мнение о его состоянии? спросил капитан. Вы можете говорить, г-н. Он не включает французский.Я смотрел последний раз раненых, то я ответил:-Этот человек будет мертв в течение двух часов.-Ничто не может спасти его?-Ничего.Капитан Немо рука быть дернулся и слезы мелькнуло в его глазах.-Вы можете снять, профессор Aronnax,-сказал он.

Результаты (русский) 2:

Однажды (я до сих пор помню дату: это было 18 января). ЭТА-то светят
я установил платформу и увидел , что капитан Немо, его LON-GUE-вид, наблюдается ср то , что он мог там найти?
Я спустился в гостиную и взял телескоп. Но у меня нет времени , чтобы использовать его, он схватил меня. Я обернулся. Капитан Немо был передо мной, но я не узнал. Его лицо было преобразовано. Его глаза светились. Он не двигался.
Наконец капитан Немо снова стал мастером этого дела. Его лицо возобновил свое обычное спокойствие.
- Аронаксом, он сказал, оставить вас заперли, вас и ваших компаньонов, пока я не могу сделать вас свободными.
- Ты хозяин, "ответил я.
Я спустился в каюту , занимаемого Неда и Conseil, и я положил их транс-приказы капитана. Четыре из экипажа взяли нас в каюту , где мы провели нашу первую ночь на "Наутилус". - Что это значит, сэр? Совет просил меня.
Я сказал своим спутникам , что произошло. Они были удивлены , как и я.
Тем не менее, воскликнул Нед:
- Эй! обед подается!
Мы сели за стол. После обеда, Нед Ленд заснул и Совет последовал его примеру. Я задавался вопросом, что стало причиной этой потребности во сне , когда я почувствовал , что мои глаза закрывались, несмотря на себя. EVIDEM Единение, мы перепутали снотворным наша пища. Я пытался сопротивляться сну. Это было невозможно. Я глубоко спал.
К моему удивлению, я проснулся на следующий день в моей комнате. Это случилось в ту ночь, я не сделал. Я хотел уйти. Я открыл дверь и вышел на платформу. Нед Ленд и Консель меня ждали. Я спросил их. Они ничего не знали ни. Таким образом , я спустился в гостиную , и я начал сортировать мои заметки.
Я спокойно работать , когда открылась дверь , и вошел капитан Немо. Я посмотрел на него. Он выглядел усталым. Его лицо выражало глубокую печаль.
- Вы врач, М. Аронаксом? меня спросил он.
Удивленный, я смотрел на него на мгновение без ответа.
- Да, я говорю, я доктор.
- В таком случае, сэр, "сказал капитан, вы можете дать ваше внимание на один мои люди?
- вы больны?
- Да.
- Я готов следовать за вами.
- Давай.
капитан Немо привел меня в такси. Там, на кровати, я увидел человека с энергичной фигурой. Он был не только пациент получил травму. Травма была очень серьезной. Я видел , что смерть близка.
- Ваше мнение о его состоянии? спросил капитан. Можно говорить, сэр. . Он не понимает по- французски
я смотрел последний раз больно, потом я сказал:
- Этот человек будет мертв в течение двух часов.
- Ничто не может спасти его?
- Ничего.
Рука капитана Немо затянуты и слезы светились его глаза.
- вы можете удалиться, М. Аронаксом, сказал он.